Ethique et Déontologie

Je suis la déontologie de l’Ecole de la Conscience, transmise lors de ma formation d’interprète animalière avec Fabienne Maillefer

Accord.

L’accord du propriétaire de l’animal est indispensable pour pouvoir faire une communication animale. Son implication sera aussi importante pour valider les éléments récoltés lors de la restitution.

Il n’est pas possible de demander une communication animale pour un animal qui n’est pas sous votre responsabilité.

Rôle.

L’interprète animalier n’est pas un professionnel de la santé animale, il ne peut donc pas remplacer votre vétérinaire, ostéopathe, comportementaliste, etc…. Il se doit de réorienter les propriétaires vers les personnes compétentes.

Si vous avez des doutes sur l’état de santé de votre animal, vous devez tout d’abord consulter votre vétérinaire.

Asservir.

La communication animale n’est pas un outil pour demander à un animal d’agir d’une certaine manière, de l’obliger ou lui interdire de faire quelque chose.

On demandera toujours à l’animal son point de vue afin de déterminer si l’intervention d’un professionnel vétérinaire ou comportementaliste doit être consulté ou si l’on peut proposer un compromis à l’animal.

Professionalisme.

Les médecins ne sont pas infaillibles, les interprètes animaliers non plus. Je travaille avec professionnalisme, cependant la nature même de la communication intuitive qui se compose d’éléments hétérogènes à réorganiser présente une marge d’erreur.

Animaux perdus.

La communication animale telle que enseignée à l’Ecole de la Conscience ne permet pas de retrouver des animaux disparus. Le risque de recevoir des éléments contradictoires ou impossibles à interpréter est très important.

Nous conseillons l’utilisation de la méthode du cordon d’argent dans les heures qui suivent la disparition de votre animal.

Responsabilité

La responsabilité de l'interprète animalier ne saurait être engagée s'agissant des suites que le propriétaire de l'animal pourrait donner ou renoncer à donner à une communication animale.

Charte Ethique

Cette charte a été rédigée par Penelope Smith en 1990 et traduit en français par Caroline Leroux.
J’y est adhéré, ayant pratiqué ma formation à l’Ecole de la Conscience de Fabienne Maillefer.

Notre motivation est d’abord la compassion pour tous les êtres et le désir d’aider les êtres de toutes les espèces à mieux se comprendre, afin de réanimer les facultés inhérentes à chaque humain de communiquer aisément et directement avec les autres espèces qui l’entourent.

  • Nous honorons ceux qui viennent ver nous en demandant de l’aide et nous ne jugeons ou ne condamnons personne pour les erreurs et les incompréhensions du passé. Nous honorons simplement leurs désirs de changement et d’harmonie.

  • Nous savons que conserver la pureté et l’harmonie de notre travail, nous nous devons de grandir spirituellement et de bien nous connaître. Nous réalisons que la communication télépathique est un médium qui peut être affecté par nos désirs inconscients, nos émotions excessives, nos jugements et notre manque d’amour envers nous même et autrui. En sachant ceci, nous marchons sur le chemin de la télépathie animale avec humilité et bienveillance. Nous sommes prêts à regarder nos erreurs et à transformer les croyances qui peuvent influencer la clarté des communications que nous recevons (de la part des humains comme des non-humains).

  • Afin d’augmenter l’efficacité de notre travail, nous nous tenons informés et nous comprenons les lois qui gouvernent les dynamiques des espèces humaines et non-humaines. Pour ce faire, nous allons chercher les connaissances ainsi que l’aide personnelle dont nous avons besoin pour faire notre travail avec efficacité, compassion, respect et joie.

  • Nous cherchons à mettre en évidence le meilleur en chacun afin de trouver des solutions positives aux problèmes qui nous sont soumis. Nous offrons notre aide qu’aux gens qui la demandent afin que les gens soient réceptifs à notre aide. Cela augmente de beaucoup notre efficacité. Nous respectons les sentiments et les croyances des autres et notre travail va dans la direction d’une plus grande compassion et d’une meilleure compréhension entre les différentes espèces. Nous reconnaissons nos limites ainsi que ce que nous ne pouvons changer. Nous concentrons nos efforts sur ce que nous pouvons transformer.

  • Nous respectons la vie privée des gens et de leur compagnon animal. Nous travaillons dans la confidentialité.

  • nous faisons de notre mieux pour aider les gens à conserver leur dignité et à décider comment il peuvent, de façon adéquate, venir en aide à leur compagnon animal. Nous ne cultivons pas la dépendance envers nous et préférons stimuler la curiosité et encourager l’autonomie. Nous offrons aux gens la possibilité de grandir dans leur relation avec les êtres des autres espèces.

  • Nous reconnaissons nos limites et nous savons quand il faut recommander l’aide d’un autre professionnel. Ce n’est pas notre travail de diagnostiquer ou de traiter des maladies et nous référons les gens aux vétérinaires pour ce genre de chose. Nous pouvons exprimer les émotions de l’animal, dire comment il se sent, les symptômes qu’il présente ou l’endroit où il ressent la douleur, tels que communiqués par l’animal. Cette information peut être utilisée par un vétérinaire, à sa discrétion. Nous aidons aussi à comprendre et diminuer le niveau de stress à travers un travail d’écoute et à l’aide d’autres méthodes douces. En partagent nos connaissances et en leur faisant part de toute l’information que nous recevons, nous donnons aux clients la latitude nécessaire pour décider de la meilleure façon d’aider leur compagnon animal.

  • Le but de toutes les consultations, les conférences et les ateliers est de créer un espace pour qu’il y ait plus de compassion, une meilleure compréhension et un meilleur équilibre entre tous les êtres. Nous suivons notre cœur en honorant l’esprit qui habite chaque être et qui nous unit tous.